Gériatrie Pascal Pozzi
Pascal Pozzi

Pascal Pozzi

Né le 12/05/1950

  • 1979 diplôme de docteur en médecine de la faculté de St Etienne Loire après un premier cycle effectué à Paris
  • 1994/1997 Capacité nationale de gériatrie
  • 1995/ 1996 DU de soins palliatifs Grenoble
  • 1979/1997 médecine générale rurale dans la Loire où j'ai occupé le poste de médecin à la maison de retraite (60 lits) et participé à la transformation de l'hospice en maison de retraite.
  • 1997/ 2002 direction en association avec ma femme d'un hôtel restaurant d'affaire de 48 chambres avec restauration, organisation de séminaires et réceptions. Ma fonction principale a été la gestion du personnel de restauration.
  • Cessation de l'activité hôtelière pour raison de santé de ma femme en 2002.

Depuis 2002, je suis  médecin coordonnateur à temps plein d'un très gros EHPAD de 450 lits dans la Loire (www.mrl-42.fr). Je suis le plus proche collaborateur de la direction (qui a changé 4 fois en 4 ans!!) et j'ai participé à:

J'ai participé activement à la mise en place de la convention tripartite en 2004/2005, puis la finalisation du projet d'établissement 2008/2012, la normalisation des dossiers médicaux et de soins, puis de l'informatisation de ceux-ci en cours de développement (logiciel PSI de ASC2I codage PMSI possible).

URL du site internet: http://www.geriapoz.com
  • La confusion aiguë est un diagnostic clinique parfois difficile chez une personne âgée.
  • Une confusion aiguë doit être systématiquement évoquée en cas de changement rapide du comportement habituel ou d’inversion récente du rythme nycthéméral.
  • L’existence de troubles cognitifs ne permet pas de faire la distinction entre confusion et démence. En revanche, un début brutal, des troubles de la vigilance ou de l’attention et la fluctuation rapide des symptômes dans le temps orientent vers un diagnostic de confusion.
  • La confusion aiguë est une urgence médicale qui nécessite un diagnostic étiologique rapide et une prise en charge médicale.
  • La confusion aiguë est souvent d’origine multifactorielle : il faut penser systématiquement à un facteur déclenchant  médicamenteux (changement de traitement, de posologie, automédication, etc.)
  • La prise en charge doit débuter par des mesures non médicamenteuses.
  • Le traitement pharmacologique symptomatique ne doit pas être systématique. Il peut être nécessaire si les mesures non médicamenteuses sont insuffisantes en cas de symptômes :
    • comportementaux sévères (agitation importante) ou émotionnels (anxiété sévère), provoquant chez le patient une souffrance significative ;
    • mettant en danger le patient ou autrui ;
    • empêchant des traitements ou des examens indispensables à la prise en charge.
  • Le traitement médicamenteux doit être prescrit sur une durée courte et être régulièrement
    réévalué.

L’extension abusive du diagnostic de maladie d’Alzheimer à peu près à l’ensemble des troubles cognitifs de l’âge et la réduction
de son étiologie à des causes uniquement organiques en ont fait un monstre nosologique iatrogène par l’angoisse qu’il génère
chez les sujets vieillissant et par l’occultation des phénomènes psychoaffectifs en jeu dans la genèse des troubles de la mémoire,
notamment l’angoisse de mort et l’âgisme qu’elle engendre et qui aboutit à l’exclusion des personnes âgées.
MOTS CLÉS: Alzheimer – Mémoire – Affectivité – Exclusion – Autruicide – Démence.

Une idée originale du chef Alain Labrie de L'Auberge Hatley

L'estragon me donne une impression de légèreté et le homard a besoin de légèreté pour pouvoir exprimer toutes ses saveurs.

OBJECTIFS

  •  Fournir aux professionnels de santé une démarche clinique d'évaluation et de prise en charge des personnes âgées faisant des chutes répétées qui soit applicable à la pratique quotidienne.
  •  Répondre aux questions suivantes :
  1. Quelle est la définition des chutes répétées ?
  2. Quels sont les signes de gravité des chutes répétées ?
  3. Quel est le bilan à réaliser en cas de chutes répétées ? Que faut-il rechercher et comment ?
  4. Quelles sont les interventions permettant de prévenir les récidives de chutes et leurs complications ?
Dimanche, 12 Décembre 2010 06:05

Buignets de mouelle

Et qui veult faire buignets de mouelle, convient la refaire en la manière, puis prendre de la fleur, des moyeux d’œufs, du vin et du succre et en fait la paste ; puis prendre chascun morcel de mouelle et frire au sain.

Dimanche, 12 Décembre 2010 06:04

Tourtre d’almendes

  1. Broyer très finement les amandes, jusqu’à l’obtention d’une poudre.
  2. Mélanger avec l’eau.
  3. Laisser cuire à feu très doux jusqu’à réduction de moitié.
  4. Mettre le mélange dans la pâte (qui aura été mise dans un moule à tarte).
  5. Ajouter une épaisseur de pâte, faire un cheminée.
  6. Laisser cuire au four à faible température
Dimanche, 12 Décembre 2010 06:02

Oublies

  1. Mélanger la farine, le sucre et le sel.
  2. Ajouter l’eau jusqu’à ce que la pâte devienne presque liquide.
  3. Verser une partie du mélange dans un fer à oublies (fer à hosties).
  4. Faire cuire quelques instants.
Dimanche, 12 Décembre 2010 06:00

Tarte au gingembre

  1. Mélanger la farine et les œufs.
  2. Ajouter le gingembre finement écrasé, le sucre et le beurre très mou.
  3. Battre le tout ensemble, ajouter le lait et battre énergiquement.
  4. Mettre l’appareil dans une pâte brisée (laquelle aura été étalée dans un moule à tarte).
  5. Faire cuire à feu doux. La tarte doit rester blanche, mais doit être cuite.
Dimanche, 12 Décembre 2010 05:57

Crespes

Prenez de la fleur et destrempez d’œufs, tant moyeux comme aubuns, ostez le germe et le deffaites d’eaue, et y mettez du sel et du vin, et hatez longuement ensemble ; puis mettez du sain sur le feu en une petite paelle de fer, ou moitié sain et moitié beurre frais et faites fremier ; et adonc aiez une escuelle percée d’un pertuis gros comme votre petit doit, et adonc mettez de celle boulie en l’escuelle en commencant ou milieu, et laissiez filer tout autour de la paelle ; puis mettez en un plat, et de la pouldre de succre dessus…

Dimanche, 12 Décembre 2010 05:53

Emplumeus de pomes

Pour donner entendememt a celly qui le fera sy prennés de bonnes pomes barberines selon la quantité que l’on en vouldra faire et puis les parés bien et appoint et les taillés en beaulx platz d’or ou d’argent; qu’il hait ung beau pot de terre bon et nect, et y mecte de belle eaue necte et mecte bouillir sur brase belle et clere et mecte bouillir ses pomes dedans. Et face qu’il ait de bonnes amendres doulces grant quantité selon la quantité des pomes qu’il ha mis cuire, et les plume, nectoie et lave tresbien et mectés broier au mortier qui ne sante point les aulx, et si les les broie tresbien et Ies arouse du boullon en quoy cuisent lesdictes pomes, et quant ledictes pomes seront assés cuictes si les tirés dehors sur belle et necte postz, et de celle eaue colle ses amendres et en face lait qui soit bon et espés, et le remecte boullir sur brase clere et necte sans fumee, et bien petit de sel. Et entretant que il bouldra si hache bien menu ses dicters pomes à ung petit et nect coutel et puis , estre hachiés, si les mecte dedans son lait, et y mecte du succre grant foison selon ce que il a desditz emplemus de pomes; et puis, quant le medecin le demandera, si le mectés en belles escuelles ou casses d’or ou d’argent.